Le retour
Nous sommes enfin de retour à la maison !
Et puis, l'avion ?
Ça a rudement bien été. Un peu d'avance par-ci, un peu de retard par-là. Chloé a trouvé le moyen de dormir durant le décollage d'un Q400 (bi-moteur à hélices), et n'a pas versé une seule larme de tout le voyage. On ne peut pas demander mieux comme voyage avec un enfant. Le plus difficile a été le retard d'une heure sur le dernier vol (Toronto-Québec). Disons qu'on en avait plein le cul rendu là.
Et puis, le chien ?
Le chien capote. Chloé trouve ça drôle. Le contraire aurait été plus stressant, mais comme Chloé n'est pas trop stressée par l'animal on va juste attendre que Bastou (le chien) s'habitue. On estime 4 jours environs. Pour le moment il jappe pour rien, souvent. Durant la crise pour le coucher, il est resté très calme, couché dans son lit, ça nous a vraiment soulagé puisque l'on tentait de calmer Chloé.
Et puis, le sommeil ?
Alors là c'est affreux. Impossible de coucher Chloé dans son lit, c'est la crise totale (et après 24 heures de voyagement, disons que la fatigue nous pesait). Donc nous avons couché Chloé à 3h30 environs, elle s'est endormie autours de 6h15. Nous avons même ressorti les livres de référence en adoption pour savoir quoi faire (surtout quoi ne pas faire). Finalement avec la technique de "rester dans le cadre de porte durant la crise, s'approcher quand elle se calme", ça a fonctionné. Ça à également fonctionné pour le somme en après-midi (15 minutes de crise seulement). Encore quelques jours pour reprendre le décalage horaire et nous y serons.
Et puis, le froid ?
Disons que Chloé n'est pas émerveillée. Ça à commencé par un petit tour dehors, peu habillée, pour embarquer dans l'avion à Toronto. Disons que ça l'a tempérée. La neige ne l'intéresse pas, sa "suit" d'hiver encore moins. On verra cela en temps et lieu, pour le moment ça coûte cher de chauffage.
Et puis, la bouffe ?
Elle aime beaucoup les pâtes et le poulet, et nos parents nous ont laissé des plats cuisinés dans le frigo pour notre arrivé (en plus d'une petite épicerie). Oh elle aime le riz aussi (bin kin). Elle mange avec une fourchette (pas avec ses mains comme on aurait pu le croire).
Et puis, les douanes ?
Les douanes, ça a pris 2 minutes comme tout le monde. Mais à la sortie des douanes, ils te font bifurquer à l'immigration, et là c'est looooong. Il y avait environs 15-20 personnes avant nous, 50 derrière. À 3 guichets ouverts, minimum de 5 minutes par personne (parfois 25...), nous serions encore là. Mais à un moment donné un agent nous à vu et s'est approché de nous : "are you canadians ?". On lui répond bien sûr que oui, sauf Chloé, il nous dit "Front of the line, come with me.". Ça a l'air que les canadiens passent à l'immigration avant les immigrants. Pour ce qui est du processus, aux Philippines et ici, c'est assez simple. Ils vérifient les papiers 3 fois plutôt qu'une, estampe 3-4 fois et voilà.
Welcome in Canada.
Et puis, l'avion ?
Ça a rudement bien été. Un peu d'avance par-ci, un peu de retard par-là. Chloé a trouvé le moyen de dormir durant le décollage d'un Q400 (bi-moteur à hélices), et n'a pas versé une seule larme de tout le voyage. On ne peut pas demander mieux comme voyage avec un enfant. Le plus difficile a été le retard d'une heure sur le dernier vol (Toronto-Québec). Disons qu'on en avait plein le cul rendu là.
Et puis, le chien ?
Le chien capote. Chloé trouve ça drôle. Le contraire aurait été plus stressant, mais comme Chloé n'est pas trop stressée par l'animal on va juste attendre que Bastou (le chien) s'habitue. On estime 4 jours environs. Pour le moment il jappe pour rien, souvent. Durant la crise pour le coucher, il est resté très calme, couché dans son lit, ça nous a vraiment soulagé puisque l'on tentait de calmer Chloé.
Et puis, le sommeil ?
Alors là c'est affreux. Impossible de coucher Chloé dans son lit, c'est la crise totale (et après 24 heures de voyagement, disons que la fatigue nous pesait). Donc nous avons couché Chloé à 3h30 environs, elle s'est endormie autours de 6h15. Nous avons même ressorti les livres de référence en adoption pour savoir quoi faire (surtout quoi ne pas faire). Finalement avec la technique de "rester dans le cadre de porte durant la crise, s'approcher quand elle se calme", ça a fonctionné. Ça à également fonctionné pour le somme en après-midi (15 minutes de crise seulement). Encore quelques jours pour reprendre le décalage horaire et nous y serons.
Et puis, le froid ?
Disons que Chloé n'est pas émerveillée. Ça à commencé par un petit tour dehors, peu habillée, pour embarquer dans l'avion à Toronto. Disons que ça l'a tempérée. La neige ne l'intéresse pas, sa "suit" d'hiver encore moins. On verra cela en temps et lieu, pour le moment ça coûte cher de chauffage.
Et puis, la bouffe ?
Elle aime beaucoup les pâtes et le poulet, et nos parents nous ont laissé des plats cuisinés dans le frigo pour notre arrivé (en plus d'une petite épicerie). Oh elle aime le riz aussi (bin kin). Elle mange avec une fourchette (pas avec ses mains comme on aurait pu le croire).
Et puis, les douanes ?
Les douanes, ça a pris 2 minutes comme tout le monde. Mais à la sortie des douanes, ils te font bifurquer à l'immigration, et là c'est looooong. Il y avait environs 15-20 personnes avant nous, 50 derrière. À 3 guichets ouverts, minimum de 5 minutes par personne (parfois 25...), nous serions encore là. Mais à un moment donné un agent nous à vu et s'est approché de nous : "are you canadians ?". On lui répond bien sûr que oui, sauf Chloé, il nous dit "Front of the line, come with me.". Ça a l'air que les canadiens passent à l'immigration avant les immigrants. Pour ce qui est du processus, aux Philippines et ici, c'est assez simple. Ils vérifient les papiers 3 fois plutôt qu'une, estampe 3-4 fois et voilà.
Welcome in Canada.
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