ICAB
Aujourd'hui nous avions notre rencontre "préparatoire au départ" à l'ICAB (inter-country adoption board). C'est à cette rencontre que la travailleuse sociale détermine si tout est en ordre et nous donne les derniers papiers officiels ainsi que le passeport (Philippin) de Chloé.
Nous avons demandé un taxi par le biais de l'hôtel et le concierge s'est occupé de négocier le prix. C'est le genre de gars que j'aimerais avoir avec moi la prochaine fois que je m'achète une auto parce qu'il nous a négocié le taxi pour 700 pesos, environ 18 dollars. Ça inclus l'aller, l'attente d'une heure là-bas, et le retour. C'est à 45 minutes de l'hôtel. L'essence se vend 1 dollars le litre environs. Calculez comme vous voulez mais ça fait pas cher de l'heure.
Ça incluait même le fait qu'il s'est complètement perdu. Dans le genre 15-minutes-en-retard-perdu. Il a demandé son chemin 2 fois. On peut l'excuser, c'était pas dans son coin et le gars qui a conçu les routes ici ne souffrait pas d'un trouble obsessif compulsif. C'est le bordel.
Le bureau d'ICAB est situé dans un quartier résidentiel plus pauvre (mais pas trop) et nous fait penser à une vieille maison tenue par des religieuses.
À l'intérieur, une petite salle de conférence où est venu nous rejoindre la travailleuse sociale (celle qui nous avait accompagnés à l'orphelinat).
Elle nous a fait jaser un peu, a répondu à quelques questions que nous avions et semblait bien convaincue que nous étions en possession de nos moyens.
Elle a donc remis à Chloé un Jeepney-jouet (voir plus bas deux vrais Jeepney), ainsi qu'un drapeau des Philippines. C'est une très belle pensée.
Ensuite elle nous a remis les papiers de Chloé et nous a demandé d'écrire un petit mot dans le dossier de Chloé, qu'elle pourra demander à ses 18 ans si elle le souhaite. Nous pouvions écrire ce mot d'avance (c'est recommandé mais pas obligatoire) et disons que je me sentais pas mal cheap d'avoir tant écrit dans le blogue en oubliant totalement le mot pour "futur-Chloé". Nous avons quand même composé de quoi de pas pire en pas trop de temps.
Donc c'est papiers en main que nous avons repris le taxi (pas de trafic, 20 minutes) et sommes revenus à l'hôtel. Piscine, centre d'achats, souper, bain, jeux, dodo, cette fois avec Chloé, officiellement notre fille.
Et quelle jolie fille elle est.
Nous avons demandé un taxi par le biais de l'hôtel et le concierge s'est occupé de négocier le prix. C'est le genre de gars que j'aimerais avoir avec moi la prochaine fois que je m'achète une auto parce qu'il nous a négocié le taxi pour 700 pesos, environ 18 dollars. Ça inclus l'aller, l'attente d'une heure là-bas, et le retour. C'est à 45 minutes de l'hôtel. L'essence se vend 1 dollars le litre environs. Calculez comme vous voulez mais ça fait pas cher de l'heure.
Ça incluait même le fait qu'il s'est complètement perdu. Dans le genre 15-minutes-en-retard-perdu. Il a demandé son chemin 2 fois. On peut l'excuser, c'était pas dans son coin et le gars qui a conçu les routes ici ne souffrait pas d'un trouble obsessif compulsif. C'est le bordel.
Le bureau d'ICAB est situé dans un quartier résidentiel plus pauvre (mais pas trop) et nous fait penser à une vieille maison tenue par des religieuses.
À l'intérieur, une petite salle de conférence où est venu nous rejoindre la travailleuse sociale (celle qui nous avait accompagnés à l'orphelinat).
Elle nous a fait jaser un peu, a répondu à quelques questions que nous avions et semblait bien convaincue que nous étions en possession de nos moyens.
Elle a donc remis à Chloé un Jeepney-jouet (voir plus bas deux vrais Jeepney), ainsi qu'un drapeau des Philippines. C'est une très belle pensée.
Ensuite elle nous a remis les papiers de Chloé et nous a demandé d'écrire un petit mot dans le dossier de Chloé, qu'elle pourra demander à ses 18 ans si elle le souhaite. Nous pouvions écrire ce mot d'avance (c'est recommandé mais pas obligatoire) et disons que je me sentais pas mal cheap d'avoir tant écrit dans le blogue en oubliant totalement le mot pour "futur-Chloé". Nous avons quand même composé de quoi de pas pire en pas trop de temps.
Donc c'est papiers en main que nous avons repris le taxi (pas de trafic, 20 minutes) et sommes revenus à l'hôtel. Piscine, centre d'achats, souper, bain, jeux, dodo, cette fois avec Chloé, officiellement notre fille.
Et quelle jolie fille elle est.
Commentaires
Le "trajet" est écrit sur le jeepney.
Il y en a des centaines dans la rue. Je durais un tier de jeepney, un tier de taxi et un tier de moto. Les autos "standard" sons plus rares.